sport & phytothérapie




comment les plantes peuvent elles aider le sportif ?

Sport et phytothérapie, deux aspects complémentaires des activités humaines




Le sport est un élément important des activités humaines et qui touche au monde du travail, du divertissement, de la santé, de la guerre, du développement personnel et de la spiritualité, de l’intégration sociale, de la culture…


Il concerne toutes les femmes et tous les hommes, au-delà des différences d’âge, de discipline, de potentiel physique et mental, de condition socioculturelle, de race…

La phytothérapie est tout comme le sport une discipline aussi vieille que les plus vieilles sociétés humaines, plus vieille encore puisque même les animaux utilisent et à bon escient plusieurs dizaines de plantes différentes pour se guérir de leur maux.



La phytothérapie, une stratégie globale




La rencontre entre sport et phytothérapie se fait autour des problématiques inhérentes à la pratique du sport et qui sont pour schématiser à l’extrême au nombre de trois :


- comment optimiser les performances physiques et mentales,

- comment prévenir traumatismes et lésions,

- comment accélérer la guérison des éventuelles blessures.


La phytothérapie est d’abord une stratégie globale parce qu’elle est capable de répondre – presque toujours – à ces problématiques.

Même si elle ne doit pas exclure le recours à un professionnel de santé, que ce soit pour évaluer le potentiel d’un sportif, pour le conseiller dans sa pratique ou pour le soigner le cas échéant, les solutions qu’elle propose ne doivent pas être prises à la légère ou considérées comme de vagues remèdes de « bonne fame » tout juste aptes à être rangées dans le placard aux superstitions obsolètes.


Utiliser les plantes et les actifs végétaux dans une stratégie globale permet de donner au corps et au mental du sportif une plus grande vigueur, une plus grande rigueur, une plus grande efficacité, c’est cela « optimiser les performances ».

Ce corps plus robuste résistera plus efficacement aux dangers inhérents à toute activité physique, aux risques qui sont partie intégrante de la vie.

Et si l’accident toujours possible survient, alors les conséquences pourront en être limitées ou même évitées grâce à une logique de « prévention des traumatismes ».

Quant à « accélérer la guérison des lésions» et à limiter leurs conséquences, il est bien évident qu’un organisme en bonne santé, disposant d’un système immunitaire performant et d’un potentiel de guérison optimal, mettra de son côté un maximum de chances pour guérir rapidement d’une blessure tout en limitant le risque de garder des séquelles définitives. 


Enfin la phytothérapie est aussi une stratégie globale car elle permet d’agir tant en préventif qu’en curatif, essentiellement sur trois axes majeurs :


- en renforçant le terrain,

- en corrigeant les troubles métaboliques,

- en maintenant les constantes biologiques en état d’homéostasie.


L’usage des plantes, tant dans l’alimentation qu’en thérapie stricto sensu apporte à l’organisme tous les éléments nutritionnels dont il a besoin pour se construire et pour se reconstruire en permanence, pour être fort et résistant en toute circonstance, ce qui est particulièrement important dans le cas du sportif dont les besoins physiologiques sont augmentés par rapport à ceux du sédentaire. Négliger cette évidence ne peut qu’aboutir à des carences qui peuvent se payer très cher à toutes les étapes de la pratique sportive. 

La phytothérapie permet d’agir sur tous les plans du métabolisme général et de corriger les déséquilibres du terrain, déséquilibres capables d’induire à long terme de nombreuses pathologies comme le cancer, les maladies cardiovasculaires, les troubles neurologiques.


Intoxication, oxydation, acidose, inflammation, fibrose, vieillissement, attaques immunitaires sont des phénomènes physiologiques tant qu’ils restent dans des limites très précises et seuls les actifs végétaux bien utilisés peuvent empêcher la bascule dans la pathologie.



Phytothérapie, nutrition et plantes médicinales




Les principes végétaux peuvent agir ponctuellement comme des médicaments, d’ailleurs la grande majorité des traitements allopathiques reposent sur des molécules de synthèse qui ne sont que des copies chimiques d’un modèle naturel.

Mais il est fondamental de se souvenir du message d’Hippocrate qui il y a 2500 ans déjà plaçait l’alimentation en première ligne de la bataille contre la maladie.

Consommer au quotidien plantes sauvages (si possible) fruits et légumes de préférence bio, c’est aussi faire de la phytothérapie. L’usage médicinal peut se faire sur le long terme pour équilibrer et renforcer le terrain, d’autant plus que notre société moderne multiplie les agressions de toutes sortes jusqu’à nous enfermer toutes et tous dans un carcan de molécules toxiques, de radiations délétères, de stress répétitifs.

optimiser, prévenir, guérir




Optimiser, prévenir, guérir, tels sont les trois axes principaux qui ont toujours préoccupé les soigneurs et les entraîneurs, et heureusement pour leurs patients sportifs, la nature est prodigue de plantes capables de dynamiser, stimuler, protéger, réparer les tissus et organes lésés, tout particulièrement dans le domaine de la médecine du sport.

L’activité physique, régulière ou occasionnelle, qu’elle concerne une pratique ludique, un exercice destiné à recouvrer ou à maintenir un état de santé dans le cadre d’une logique d’hygiène générale au sens large, une discipline sportive vouée à la compétition en amateur ou en professionnel, sollicite davantage l’organisme que la sédentarité.



Il importera donc pour le pratiquant de fortifier son corps pour potentialiser ses performances, sur le plan de la force pure, de la souplesse, de l’endurance, de la rapidité d’exécution des mouvements, de la faculté de récupération après l’effort. Un corps potentiellement plus performant sera par ailleurs moins sujet aux accidents traumatiques pouvant survenir sur le plan physique, claquages, déchirures, brûlures, fractures, élongations.

En plus de ce plan physique macroscopique, le pratiquant d’une activité sportive court également un risque majeur de dérégler ses fonctions vitales et son métabolisme et les phénomènes d’intoxication, d’oxydation, d’inflammation, d’acidose, de carences, en phase aiguë, subaiguë ou chronique, peuvent remettre en question la santé et même la longévité du sujet.

Malheureusement cette logique d’économie et de préservation des capacités vitales n’est pas toujours suffisamment présente dans l’esprit des athlètes et de leurs entraîneurs, et trop souvent, surtout dans le monde du professionnalisme, d’autres buts, d’autres valeurs et d’autres préoccupations, moins nobles, prévalent sur la santé.

Comme la course au podium, la recherche obsessionnelle de la performance, un résultat physique ou esthétique immédiat, un gain financier alléchant.

Les trop nombreuses affaires de dopage entachant l’éthique de certaines compétitions et la mort prématurée et parfois subite de certains sportifs de haut niveau ou amateurs ne suffisent malheureusement pas à donner matière à réflexion non seulement au niveau des participants mais aussi à l’échelle des organisateurs et « coatchs ».

Il convient donc d’être très prudent quand on parle d’optimisation des performances et de ne pas tomber dans le travers de l’excès, au détriment de l’intégrité physique et de la morale.




découvrez notre formation en ligne



  • Utilisez les plantes pour vous venir en aide dans votre pratique du sport


  • Augmentez naturellement vos performances, sans nuire à votre santé


  • Adaptez sainement votre alimentation à votre activité


  • Prenez en charge vos lésions et contraintes grâce à une approche globale de votre santé


  • Coachs, praticiens, entraineurs... Enrichissez votre activité de nouvelles compétences


  • Faites le point sur les nombreuses informations erronées qui circulent dans le monde du sport


Contactez nous :) 




PHYTOCORSA ECOLE


phytocorsa.ecole@gmail.com 


06 79 70 38 27


I Petri Bianchi lieu dit Araccia 

20144 Sainte Lucie de Porto Vecchio

FRANCE