"Le corps humain comporte plusieurs niveaux de complexité́, les niveaux d’organisation structurale qui sont du plus simple au plus complexe : les niveaux chimiques, cellulaires, tissulaires, les organes et les systèmes.

On appelle communément «système» un ensemble d’organes qui travaillent ensemble pour fournir une fonction commune. Il y a 10 systèmes majeurs dans le corps humain. Tous sont aussi nécessaires les uns que les autres pour que l’organisme fonctionne normalement."

" Nous verrons prochainement que cette vision de la phytothérapie est erronée et que les plantes présentent des vertus autres que chimiques, basées sur des équilibres énergétiques et microvibratoires déjà décrits dans des disciplines presque oubliées comme la phyto-spagyrie, disciplines qu’il convient de remettre rapidement au goût du jour. "

"« L’eau est la mémoire de la plante » affirmait Paracelse il y a cinq cents ans, vérité qui semble se confirmer par les plus récentes découvertes de la science.

Et cette mémoire végétale est peut-être justement la clef de la phytothérapie, et l’explication d’une efficacité qui ne cesse d’être démontrée au quotidien, à condition de ne pas traiter les plantes comme des réserves de remèdes allopathiques."

 "Le SHILAJIT est aussi largement utilisé par la médecine tibétaine. Pour les bouddhistes qui sont aussi thérapeutes, le SHILAJIT peut être assimilé à l’AMRITA, le nectar divin cadeau du ciel capable de guérir tous les maux quel que soit leur plan de manifestation."

"L’amygdale traite les émotions, agréables ou désagréables tandis que l’hippocampe joue un rôle majeur dans l’encodage et le rappel des souvenirs. Vous connaissez sans doute la madeleine de Proust : l’écrivain décrit dans "À la recherche du temps perdu" un souvenir d’enfance réveillé par la stimulation de son cortex olfactif ! Car, si l’effluve de la madeleine est fugace, la mémoire olfactive peut durer toute la vie."

 "Dans une acception plus large, la phytothérapie s’associe à l’ethnomédecine, une discipline consistant à étudier toutes les pratiques médicales de tous les peuples ayant vécu ou vivant encore sur terre, ces pratiques traditionnelles faisant largement appel aux traitements par les plantes ainsi qu’à des rituels magico-religieux, spirituels et chamaniques.

Le recours aux remèdes végétaux est vieux comme le monde et même les animaux sauvages, par un instinct collectif encore inexpliqué, ont recours à un certain nombre de remèdes naturels pour traiter leurs maux et blessures."

"Il existe dans la nature plusieurs millions de plantes et chaque plante contient plusieurs centaines de molécules différentes.

Certaines molécules se retrouvent très souvent dans plusieurs plantes, d’autres sont plus rares et peuvent n’appartenir qu’à une seule espèce végétale.

Botanistes et biochimistes ont essayé de nous fournir une classification cohérente des actifs végétaux, basée sur les caractères chimiques des molécules, sur leur structure, sur leurs fonctions associées."

La spiruline existe depuis plus de trois milliards et demi d’années, et elle a survécu à tous les stress et agressions parce qu’elle est dotée de tout un arsenal composé de vitamines, anti- oxydants, oligo-éléments, molécules complexes, fonctionnant avec une parfaite synergie. Utiliser la spiruline sous forme d’extrait reviendrait à se priver de cette synergie qui est peut- être la principale cause de l’efficacité thérapeutique de la spiruline.

"La DECOCTION est réservée aux parties végétales dures et ligneuses contenant des actifs résistant à la chaleur (aubier de tilleul, racines de chiendent).

Les plantes sont immergées dans le froide qui est portée à ébullition, pendant quelques minutes maximum quinze minutes, sauf pour les feuilles d’olivier qu’on laisse bouillir jusqu’à deux heures).

Après arrêt de l’ébullition, le récipient est couvert cinq minutes, puis filtré et consommé. La décoction ne sera jamais utilisée pour les plantes aromatiques."

"J’ai le souvenir d’un monsieur qui m’avait demandé si lors d’une sortie découverte des plantes sauvages on trouverait de l’herbe de la Saint Jean. Le problème, c’est que selon les régions, l’herbe de la Saint-Jean, cela peut être du millepertuis (Hypericum perforatum), du lierre terrestre (Glechoma hederacea) ou de l’achillée millefeuille (Achillea millefolium), ou bien encore de nombreuses autres plantes !

Il n’y a qu’une seule façon d’être certain de la plante dont on parle : le nom latin."

"J’ai le souvenir d’un monsieur qui m’avait demandé si lors d’une sortie découverte des plantes sauvages on trouverait de l’herbe de la Saint Jean. Le problème, c’est que selon les régions, l’herbe de la Saint-Jean, cela peut être du millepertuis (Hypericum perforatum), du lierre terrestre (Glechoma hederacea) ou de l’achillée millefeuille (Achillea millefolium), ou bien encore de nombreuses autres plantes !

Il n’y a qu’une seule façon d’être certain de la plante dont on parle : le nom latin."