La Logobiosophie




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la nouvelle naturopathie


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 « L O G O B I O S O P H I E » désigne une approche globale de la compréhension des mécanismes pathogènes liés aux modernes conditions de vie :


- imprégnations toxiques des milieux (eau, air, sols, aliments) et des organismes,


- rupture d’harmonie et brouillage des messages biologiques,


- transformation de structures biologiques vers la pathogénicité,


- immunodéficiences et faiblesses de terrain,


- dégénérescence des structures vitales, et ipso facto à une stratégie globale de thérapie basée sur :


- la détoxication,


- le renforcement du terrain,


- la stimulation des défenses immunitaires


- l’équilibration des constantes biologiques (lutte contre l’acidose, l’oxydation, les carences…),


- l’approche globale et holistique,


- l’utilisation des ressources de l’ethnomédecine,


- l’utilisation des ressources de la phytothérapie et de l’aromathérapie,


- l’intégration des médecines spirituelles…


 


« LOGOS » est un terme d’origine grecque qui signifie littéralement le verbe, la parole, le langage. Mais son acception est beaucoup plus vaste puisqu’il permet de définir toutes les formes de communication, qu’elles soient sonores comme le langage articulé ou non articulé, ou plus subtiles comme les messages biologiques reposant sur les hormones, les neurotransmetteurs, l’influx nerveux, ou encore l’allostérie ou l’information quantique. Les textes bibliques font souvent référence au « Logos », le « Verbe », la « Parole de Dieu » par laquelle « Tout a été créé » (Psaume 33 :9). L’évangile de Saint Jean (Chapitre 1) confirme que « Au commencement était le Verbe (Logos), et le Verbe était Dieu »). Le texte latin emploie plus exactement l’expression « In principio » qui a été peut-être imparfaitement traduite par « au commencement ». Une traduc 5 Lynn Margulis, biologiste américaine décédée en 2011, a démontré que même des structures biologiques aussi différentes entre elles que des cellules eucaryotes et procaryotes, développaient au fur et à mesure de l’évolution des échanges fusionnels extrêmement complexes. Ce concept de messages biologiques universels présente de multiples implications tant dans le domaine de la compréhension des mécanismes à l’origine des pathologies humaines, animales, végétales, écologiques, que des implications thérapeutiques basées sur l’étiologie plutôt que sur la symptomatologie. Un système vivant est en santé quand les messages biologiques fonctionnent harmonieusement. Quand le brouillage énergétique s’installe, le terrain se fragilise plus ou moins rapidement suivant l’intensité du brouillage, et la porte s’ouvre à la maladie, à la dégénérescence, à la mort. Comprendre ce schéma complexe permet de mettre en place des programmes thérapeutiques visant à éliminer le brouillage et à restaurer l’intégrité des messages biologiques. De façon extrêmement simplifiée, on peut prendre pour exemple les mécanismes dits des « infections endogènes ». Un organisme humain est composé de cellules eucaryotes qui constituent les différents organes, mais aussi d’une quantité encore plus importante de cellules procaryotes, des bactéries qui constituent les flores fusionnelles – ou commensales. Ces flores bien qu’étant de nature bactérienne sont partie intégrante de l’organisme avec lequel elles cohabitent, parce que l’équilibre s’est établi au fil de millions d’années d’évolution, parce que ces flores participent activement au métabolisme général, parce que leur identité antigénique est proche - voir identique - de celle des cellules « organiques » proprement dites. Bactéries et cellules humaines communiquent en permanence entre elles, dans une harmonie parfaite qui s’appelle la santé. Sous l’action d’un stress externe – comme par exemple une intoxication, même faible, aux métaux lourds, ou encore comme un traumatisme psychologique - les messages biologiques sont brouillés et les bactéries jusqu’alors commensales deviennent pathogènes. L’exemple le plus frappant est celui de la maladie de Lyme, qui est encore considérée par de nombreux médecins comme une simple maladie infectieuse transmise par des agents vectoriels, les tiques (Ixode commun). Le schéma pathogène repose donc toujours sur un facteur initial le plus souvent toxicologique, responsable d’un brouillage des messages biologiques, lui-même responsable d’un schéma complexe d’immunodéficience et de dégénérescence du terrain. La réponse thérapeutique implique donc toujours une identification des mécanismes toxicologiques, une détoxication pilotée avec précaution et rigueur, une correction des faiblesses de terrain et des immunodéficiences, et si besoin est une thérapie symptomatologique. 6 Cette approche étiopathogénique globale prend tout son sens dans le domaine de la prévention qu’elle soit primaire (éviter l’exposition aux toxiques) ou secondaire (éliminer les toxiques avant toute manifestation clinique pathologique). Parce qu’elle repose sur une compréhension des mécanismes de brouillage énergétique et informationnel, l’appellation de « médecine logobiosophique », qui est de toute évidence une forme aboutie de médecine environnementale, prend tout son sens.


 


« BIOSOPHIE » est aussi un mot d’origine grecque, formé sur les racines « BIO » signifiant la « VIE » et « SOPHIE » ou « SOPHIA », la « SAGESSE ». La BIOSOPHIE est donc la « SAGESSE DE LA VIE », une approche philosophique pythagoricienne reposant sur l’harmonie et sur l’équilibre. Pythagore, philosophe grec né au VIème siècle à Samos, fut un athlète accompli et un grand voyageur qui visita dans une quête initiatique de nombreux pays : la Syrie, l’Egypte, la Chaldée, la Crète, et peut-être l’inde où la légende affirme qu’il y rencontra le prince Siddharta Gautama, le Bouddha historique Shakyamouni. Pythagore ne nous a laissé aucun texte et sa pensée nous est connue uniquement par les écrits de ses nombreux disciples. Premier philosophe, précurseur de l’alimentation végétarienne, mathématicien, musicien, Pythagore fut aussi un médecin célèbre qui a su développer une approche de la santé que l’on qualifierait de nos jours d’holistique, affirmant que l’équilibre d’un organisme repose sur l’harmonie entre les contraires, la juste répartition des énergies, la purification et le « nettoyage ». Les traitements pythagoriciens reposent sur l’usage de cataplasmes, le respect d’un régime alimentaire équilibré, les remèdes phytothérapiques, le tout associé à des pratiques spirituelles. Pythagore a t’il réellement rencontré le Bouddha ? Toujours est-il qu’on retrouve dans sa philosophie des principes communs au bouddhisme, comme la croyance en la réincarnation ou la nécessité pour vivre en harmonie physique et mentale – et sans doute aussi spirituelle – de respecter des principes éthiques de bonne conduite. Je n’affirmerais pas que la paternité du terme « BIOSOPHIE » puisse être attribuée avec certitude à PYTHAGORE. Mais ce qui est certain c’est que définir cette approche philosophique comme une « SAGESSE DE LA VIE » basée sur l’amour, sur l’harmonie, sur la purification des poisons physiques et non physiques, sur le respect de la vie, en particulier animale, est en parfaite cohésion avec ce que nous savons de la grande sagesse du père de tous les philosophes, de tous les « amoureux de la sagesse ».


 


Sur cette base, l'enseignement de PHYTOCORSA ECOLE peut être résumé en 7 points :


1/ Comprendre TOUS les mécanismes de communication entre les structures vivantes, qu’elles soient internes ou externes (y compris les plus subtiles comme celles liées à l’allostérie, à l’information quantique, à la mémoire de l’eau et aux mémoires cellulaires).


2/ Intégrer dans cette approche énergétique un concept de globalité et d’holisme, tant au niveau microscopique que macroscopique, qu’au niveau des plans physique, mental et spirituel, ainsi qu’au niveau de la transmission transpersonnelle et transgénérationnelle.


3/ Développer les notions de terrain, de santé naturelle, d’hygiène vitale, d’harmonie et d’homéostasie, dans le contexte global de dialogue et d’échanges énergétiques.


4/ Comprendre le nouveau contexte de pollution environnementale touchant aux milieux (eau, air, alimentation) et aux organismes, identifier les nouveaux toxiques et leurs dynamiques évolutives de contamination ainsi que les impacts sur les structures organiques.


5/ Interpréter les effets nocifs de ces toxiques notamment au niveau du brouillage énergétique des messages biologiques (base de la médecine logobiosophique).


6/ Décrire les états émergents d’intoxications aiguës ou chroniques, de multiinfections aiguës ou chroniques, d’immunodéficiences, de troubles métaboliques et dégénératifs.


7/ Décrire une méthode phyto-active globale et holistique, basée sur la détoxication et la revitalisation, et proposer une thérapie basée d’une part sur la restauration du terrain et de l’immunité, d’autre part sur la gestion ponctuelle de la symptomatologie et de la clinique.




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